Menu
Jeu de go View larger
Produits similaires
  • Atelier van gogh
  • Atelier picasso
  • Atelier léonard de vinci
  • Pylos mini
  • Awalé
  • Avalam
  • Coffret loto 48 cartons avec 90 pions buis marques
  • Star master
  • Sachet de 16 dadas buis
  • Oracle de la triade
  • Classic bicycle asteroid
  • Jeu de Tock 4 joueurs
  • Cathédral Voyage Magnétique
  • Cathédral Original
  • Shoggi 30cm
  • Genius square
  • Bracelet de vie cuivre diffuseur
  • Encens green tree 7 chakras
  • Coeur labradorite 5 cm
  • Barricade XL
  • Jeu de Toc 6 joueurs XL Hévéa
  • Toupis Ufo bois
  • Oracle Archange Gabriel
  • 24 leçons apprendre seul le tarot
  • Tarot persan de mme indira
  • La voyante
  • Oracle des fées Lenormand
  • MyRummy Classic Line
  • Scrabble Voyage
  • Jeu oie et petits chevaux bois

Jeu de go

JS19

Condition: New

Disponibilité : (2 pièces disponibles)

66,90 €

En savoir plus

Fiche technique

Télécharger

Le jeu de Go en bois petit modèle

Grand classique des jeux Japonais, pour les passionnés de stratégie.

Le but du jeu est d’occuper le plus d’espace possible (territoires) en utilisant un matériel très simple :

une grille, appelée goban, et des pions, appelés pierres, qui sont noirs ou blancs,

que l’on pose alternativement sur les intersections de la grille.

Le goban est un damier sur lequel est tracée une grille de 19 lignes et 19 colonnes, soit 361 intersections.

Il est fortement conseillé de jouer ses premières parties sur des goban plus petits (9×9 ou 13×13 lignes, par exemple),

ce qui facilite l’approche de la stratégie et permet de mieux assimiler les mécanismes du jeu.

La règle du jeu s’apprend en quelques minutes et elle permet au débutant de jouer des parties passionnantes.

Au go, deux joueurs de force très différente peuvent jouer à égalité de chances grâce à un astucieux système de handicap,

et cela sans dénaturer en rien les mécanismes du jeu.

Un peu d'histoire :

La connaissance du jeu de go est nécessaire à quiconque s’intéresse à l’Asie. Il fait partie intégrante de la culture chinoise, japonaise et coréenne.

La simplicité du jeu ainsi que le regard qu’il force à avoir sur soi-même, ses faiblesses, son agressivité

et autres composantes du comportement humain, en font un puissant outil de développement personnel.

E. Lasker, « Maître International » d’échecs affirmait :

« S’il y a une vie intelligente sur Mars, ses habitants doivent avoir découvert le jeu de go »

Le jeu de go (weiqi en chinois) est né en Chine vers le deuxième millénaire avant notre ère.

Une légende en attribue la paternité à l’empereur Yao

et une autre à l’empereur Shun qui voulaient éduquer leurs fils stupides et bornés.

Le yiking, système divinatoire chinois, présente aussi de nombreuses analogies avec le go dont il pourrait être le vecteur matériel.

C’est finalement dans les annales Printemps et Automne (entre -722 et -481 av. JC)

que l’on trouve les premières références écrites au go.

Confucius mentionne ensuite le go dans ses entretiens.

C’est vers la fin de la dynastie des Han (25-220 apr. J.-C.) que les premiers traités de go sont écrits.

A partir de la fin des Han et jusqu’à la restauration de l’empire par les Sui en 589 apr. J.-C.,

les classes dirigeantes sombrent dans l’oisiveté et se tournent vers le taoïsme et le go.

Le jeu connaît alors un très fort développement, avec l’apparition d’un système de classement des joueurs,

d’instituts de go et de fonctionnaires.

Les livres se multiplient : recueils de parties, écrits théoriques, listes de joueurs, etc.

Le go est alors intégré aux trois Arts Sacrés (peinture, musique et calligraphie) pratiqués par l’empereur

et ses courtisans et cela jusqu’à la fin du 19e siècle.

Le go (baduk en coréen) arrive en Corée vers la fin du 5e siècle et va finalement atteindre le Japon au début du 7e siècle.

L’aristocratie japonaise, très influencée par la Chine, adopte très vite le jeu et se le réserve, interdisant aux moines de le pratiquer

(premier code civil japonais en 701 apr. J.-C.).

La pratique du go s’étend ensuite aux milieux intellectuels, aux bonzes puis aux samouraïs

qui s’en servent comme entraînement à la stratégie militaire.

Les moines nichirens (école bouddhiste japonaise) pratiquent assidûment le jeu et créent la première école japonaise, l’école Honinbo.

Avec l’unification du Japon en 1603, le go, soutenu par les militaires et le shogun Tokugawa,

entre dans sa période classique avec l’émergence de trois nouvelles grandes écoles qui s’affrontent

pour se partager les postes de fonctionnaires richement dotés.

Un tournoi annuel réunira les deux meilleurs joueurs japonais, en présence de l’empereur et du shogun, jusqu’à la restauration Meiji.

En Europe, les premières références au jeu apparaissent vers le 16e siècle dans des récits de voyages,

comme celui du jésuite Matteo Ricci. Leibnitz publie le premier article européen sur le go en 1710.

C’est seulement vers la fin du 19e siècle que le go se développe vraiment en Europe, en Allemagne et en Autriche-Hongrie principalement.

Le premier club est créé en 1895 par des officiers de la marine austro-hongroise et la première revue naît en 1909.

Le go moderne se développe dans le monde après la Seconde Guerre Mondiale

sous l’impulsion de la fédération japonaise et grâce au renouveau des fédérations coréennes et chinoises.

Aujourd’hui on compte environ 40 millions de joueurs dans le monde dont un million en Europe.

Nombre de joueurs2

Aucun commentaire n'a été publié pour le moment.

Donner votre avis